Période novembre/decembre 2021
Bon ça va faire un an alors je publie mon témoignage :
C’était le début de la seconde vague, covid oblige j'ai eu la chance d’être en chambre seul pendant 3 semaines.
Ensuite je suis envoyé en chambre double. Jusque la pas de soucis, une semaine se passe et je m'entends bien avec mon coloc même si il fume des joints à la fenêtre (personnellement c'est pas mon addiction donc ça allait). Par contre je voyais bien qu'il me mentait, et que, son séjour n’était pas voulu mais obligatoire (genre tribunal).
Un soir il rentre ECLATé! Mais vraiment. Et il me dit qu'il est sortie en douce acheter de l’alcool, car dans la journée il s’était fait grillé pour le cannabis, et qu'il était renvoyé demain.
Donc le mec débarque dans la piole éclaté avec son sac d’alcool.
Il me propose du whisky et me tend/agit son sac plein d’alcool.
J’étais trop mal, je voulais pas boire et je savais pas comment gérer la situation, je voulais pas aller le balancer (c'est pas ton tempérament) mais je savais que c’était impossible de passer la soirée avec lui, et en plus il devenait bien con avec l'alcool.
J’suis sorti, et je suis aller voir les infirmières. La on est vers 21h30. Je transmets l'info et demande quoi faire.
Je remonte dans la chambre.
Comme prévu une infirmière appelle sur le tel de la chambre mon coloc et lui demande de venir faire un test.
Il a refusé, a assumé avoir bu et basta (il était déjà viré pour le lendemain) Saut qu'il lui ont laissé son alcool et libre circulation dans le bâtiment.
Forcement il est venu dans notre piole. Je l'ai dégagé fortement, et les gens autour ont été interrogé par le bruit et sont venu.
Il a fini par se battre avec une autre personne que moi et pendant tout ce temps on appelaient les infirmières.
Et la cerise sur le gâteau, il n'y avait qu'une infirmière (stagiaire bien sur) qui devait faire 1m60 pour 50 kilos (c'est pas une attaque hein).
Et la, la pauvre elle débarque dans une bagarre général, heureusement que les gens sur place étaient plutôt intelligent.
Enfin voila mon histoire, je vous passe le suivie médical absurde.
Force aux infirmières comme Gaëlle.